Ce post-master est un enseignement de troisième cycle qui se définit comme une porte d’entrée favorisant et préparant à l’inscription en doctorat d’architecture ou, préparant à de nouvelles pratiques de l’architecture, de l’urbanisme et du paysage. Le but de cette année « transitoire » est d’apprendre à produire un mémoire de recherche. Ce mémoire prendra des formes distinctes suivant les objectifs de l’étudiant. Ces objectifs peuvent être de poursuivre un travail de recherche en thèse pour l’obtention d’un doctorat en architecture ou l’acquisition de nouvelles méthodes pratiques pour le développement de nouvelles compétences professionnelles. Ce post-master propose différentes initiations à la recherche qui se rencontreront en des moments de partage et d’échange transdisciplinaires des points de vue du Département Recherche de l’ENSAPLV (chercheurs et doctorants), des UMR associées et des deux écoles doctorales partenaires. Des journées d’études internationales transdisciplinaires ponctuelles favoriseront également l’ouverture aux problématiques internationales.

L’après-midi débutera à 14h par une communication ouverte à la discussion intitulée « Trouble de la situation et paradigme de l’enquête en Anthropocène » et sera suivi d’une conférence performée « Le peuple aux sédiments perdus. Parcours en Louisiane ».

Pour nourrir et questionner cet espace de travail entre architecture et philosophie, l’équipe se rassemble suivant les temporalités d’un séminaire organisé chaque année, ponctué de rencontres mensuelles. Tous les deux mois, ces rencontres sont dédiées à la lecture d’un texte choisi collectivement. Dans le cadre de la 4è rencontre, nous nous réunissons autour d’un texte d’Édouard Glissant, Poétique de la Relation.

Dans les entrailles de l’architecture, dans les locaux techniques dédiés au traitement de l’air, des personnes veillent sur des machines qui elles-mêmes s’activent pour maintenir nos conditions de respiration. Qu’est-ce que le soin de l’air dès lors qu’il est délégué aux machines ? Pourquoi une telle artificialisation ? Pourquoi une telle recherche de contrôle ? Et pour quels effets sur les airs ? Pour quels effets sur nos corps ? C’est ce qu’interroge ce travail de thèse pour mieux comprendre comment nous prenons soin des airs de nos intérieurs.

Pour nourrir et questionner cet espace de travail entre architecture et philosophie, l’équipe se rassemble suivant les temporalités d’un séminaire organisé chaque année, ponctué de rencontres mensuelles. Tous les deux mois, ces rencontres sont dédiées à la lecture d’un texte choisi collectivement. Dans le cadre de la 3è rencontre, nous nous réunissons autour d’un texte d’Isabelle Stengers, le livre 7 des Cosmopolitiques : Pour en finir avec la tolérance.